Ecrittératures

30 novembre 2021

Erdogan a voulu acheter au prix fort

Filed under: APPEL à DIFFUSER — denisdonikian @ 4:02

Erdogan a voulu acheter au prix fort

toute l’édition de mon prochain livre.

Je lui ai répondu :

Non !

Certes, les Arméniens n’aiment pas le sexe.

La preuve c’est qu’aucun,

je dis bien AUCUN,

ne m’a passé commande de mon opus

L’Esprit du Corps Féminin.

Sauf Alain (mais on sait pourquoi).

En revanche pour celui qui arrive

le 15 décembre,

ils seront prêts à débourser 75 euros,

PARCE QUE LES ARMENIENS AIMENT LEUR(S) MORT(S)…

Alors que tu veuilles épuiser toute l’édition

à 150 euros l’exemplaire,

OK !

Mais laisse moi te répondre ceci :

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J’aime trop les Arméniens pour les priver

de lire ce qu’ils furent,

ce qu’ils sont

et

ce qu’ils ne seront pas.

28 novembre 2021

Aphorisme du jour (168)

Filed under: APHORISMES — denisdonikian @ 3:10
transgenre extravagant en body et harnais en cuir debout en studio

Photo de Kamaji Ogino sur Pexels.com

L’autre jour, une rouleuse hiératique qui gouapait rue Saint-Denis,  ses affaires exposées en clair-obscur, répondit à un loupiat godaillant par-ci par-là sa gueulardise que sa statue ne lui permettait pas d’être montée, pour dire probablement que son statut lui interdisait de monter.

Aphorisme du jour (167)

Filed under: APHORISMES — denisdonikian @ 4:42

*

L’homme est ainsi fait qu’un ci-devant écologiste peut fustiger en public les prédateurs de la nature et pratiquer en coulisses des violences naturelles envers des femmes de passage.

femme en haut de sangle spaghetti noir tenant une brosse a cheveux bruns

Photo de Anete Lusina sur Pexels.com

25 novembre 2021

Le Donikian nouveau est arrivé : l’Esprit du corps féminin

Filed under: APHORISMES,NOUVELLE PUBLICATION — denisdonikian @ 5:00

ECF

Ce livre d’aphorismes

en forme de blason féminin

Est une

PROUESSE

Imprimé en Arménie

Jamais

Une telle chose n’a été publiée

QUI PLUS EST

L’imprimeur est un Arménien d’Arménie

L’éditeur est un Arménien d’Arménie

La traductrice est une Arménienne d’Arménie

Le photographe est un Arménien d’Arménie

La femme modèle est une courageuse Arménienne d’Arménie

La graphiste est une Arménienne d’Arménie

L’auteur est un Arménien de France

Et les lecteurs seront de nulle part

Car il n’y en aura pas.

Mais qui sait ?

25 euros ( port compris) s’adresser à l’auteur

via les commentaires

*

TABLE des MATIERES

Les cheveux

l’oreille

l’oeil

La bouche

La langue

Le cou

Les seins

La main

Le ventre

Le pubis

La vulve et le vagin

Le cul

Les jambes et les cuisses

Le pied

La peau

Addendum : Le pénis

ECF 1

ECF

ECF 2

ECF 1

24 novembre 2021

Le Donikian nouveau est arrivé.Erotic-tac-tic-tac….

Filed under: Uncategorized — denisdonikian @ 5:29

femme nue couchee dans son lit

Photo de Valeria Boltneva sur Pexels.com

21 novembre 2021

Cent trente qu’ils étaient…

Filed under: PROSE POESIE — denisdonikian @ 5:42

foule devant des personnes jouant des instruments de musique pendant la nuit

Photo de picjumbo.com sur Pexels.com

Cent trente un treize au soir à mourir en novembre

Eux qui dansaient d’aimer à vivre qu’en musique

Qui n’étaient d’aucun crime et n’étaient d’aucun clan

Leurs yeux n’auront pas vu les fêtes de décembre

Cent trente qu’ils étaient insoucieux magnifiques

Des feux ont mis à mort leurs joies au Bataclan.

*

Ils avaient dans les yeux des airs de douce France

Étudiants étrangers provinciaux de Paris

Leur vie était mondiale autant que d’un pays

Gourmands de leur jeunesse généreuse idéale

Ils avaient du bonheur à vivre en tolérance

D’espoir et de galère et de libre morale

*

Je pense à toi Lola qu’ils auront arrachée

Au temps aux tiens au ciel au miel de tes années

Toi qui venais de loin d’un nôtre cauchemar

Où l’on tuait pour rire où l’on tuait pour rien

Parce qu’on était le pire et qu’on était chrétien

Parce qu’on était de trop et qu’on était bâtard

*

Cent trente qu’ils étaient embrasés de musique

Sous les rythmes d’éclairs qui fusaient dans la nuit

Cent trente qui dansaient leur vie acrobatique

Bons vivants et gourmands de ne fuir que l’ennui

Cent trente qu’on jugea coupables d’être heureux

Et qu’on exécuta comme offrande à un dieu

*

Ceux dont la vie est lâche ont eux lâché leurs chiens

En se masquant de nuit pour leur basse besogne

Le coup de feu facile et la haine noirâtre

De ceux qui vont armés de vivre sans vergogne

*

Cent trente qu’ils étaient et qui ne sont plus rien

Car la vie est violente et va comme un théâtre

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