Ecrittératures

1 juin 2013

4O0 Arméniens de Dzovakiugh disent

Filed under: CHRONIQUES à CONTRE-CHANT — denisdonikian @ 6:42

à Serge Sarkissian,  à la diaspora et au collabo de service.

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3 commentaires »

  1. Lorsque l’on dit: « quand le bâtiment va tout va. »
    C’est dire surtout que tout va mal dans le pays des ouvriers qui viennent trimer sous l’autorité des exploiteurs.
    C’est dire que ces pauvres gens n’ont d’autres moyens pour survivre que de quitter leur pays, leur terre qui les a vu naitre.
    De quitter leur famille, femme et enfants pour aller au hasard et y laisser leur peau dans des conditions dont ils n’ont pas toujours conscience. Pour survivre!
    Et il faudrait fermer les yeux sur les salopards qui sans aucun scrupule se comportent comme des ennemis de leur propres frères?
    Sans doute que nous sommes encore bien loin de la vérité. Et que le pire est à venir.
    Mais le minimum est d’en avoir conscience et surtout le dire, le dénoncer. Merci à Denis et à tous ceux qui ont des C…..pour prendre position et crier tout haut ce que trop peu e gens pensent tout bas. Que reste t il de tous ces pays abandonnés de leurs propres dirigeants… Au nom de l’egoisme, du pouvoir et des ambitions ? C’est de plus en plus pitoyable. Mais c’est ça la nature humaine!!! Seulement si tu n’ouvres pas ta gueule, si tu n’as pas le courage de prendre position , au risque de te fâcher avec les uns et les autres et d’être mal considéré, comment peux tu te regarder dans un miroir avec dignité? Tu ressembleras alors à ceux que tu critiques. S’il est si difficile d’etre capable de gérer un pays autant aller planter des choux ou de garder les vaches… Quoique même pour cela, encore faut il avoir le respect de la nature et des bêtes…

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    Commentaire par Barsamian Alain — 1 juin 2013 @ 7:21

  2. Veni, vidi, mais pas vici !

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    Commentaire par Dzovinar Melkonian — 1 juin 2013 @ 8:42

  3. Poèmes sur le voyage

    I.

    Lorsque tu voyages,
    Les étoiles te parlent.
    Et ce qu’elles disent
    Est souvent triste.

    II.

    La chanson que l’on sifflote
    Ivre, les matins,
    Est joyeuse,
    Mais cette même chanson
    Derrière la vitre d’un train
    Ne l’est pas.

    _______

    Mon ombre

    Je la traverse
    La traînant
    Toutes ces années
    A la pointe de mes pieds.
    Avec le temps
    Nous vivons presque,
    Mon ombre
    Quelque part,
    Moi
    Ailleurs.

    Poèmes d’Orhan Veli, grand poète turc, où chacun peut se reconnaître

    La conscience de l’exil est aussi turque, espagnole, arabe, juive, russe… Universelle. Il est bon de savoir que l’on n’est pas seuls dans ce dédale.

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    Commentaire par george — 1 juin 2013 @ 1:35


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